Vous êtes tous des salauds !

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il y a 10 ans

C'est une belle matinée du mois de juillet et je conduis lentement pour profiter de l'air frais, du soleil et de la liberté de pouvoir consacrer enfin une longue journée à ma maîtresse. Je suis à la retraite depuis une quinzaine et la semaine dernière je lui ais annoncé pouvoir à l'avenir lui consacrer d'avantage que les quelques heures volées sur mon travail. 'Viens samedi prochain à dix heures 'm'a t'elle ordonné '. Je te garderai une heure, la journée ou le week-end entier selon mon humeur. Arrange toi pour être libre et prévoit un cadeau suffisant'.

C'est vraiment facile de me libérer, je n'ai pas de femme, et une lointaine famille qui n'est visible que pour les enterrements. Mes relations avec mes collègues de travail sont simplement polies et mon meilleur et presque unique ami est parti s'installer au Maroc en début d'année. Je n’ai pas encore songé à me procurer des occupations. Je désire profiter au maximum de cette liberté nouvelle de n'avoir pas à me préoccuper de rendez-vous minutés.

Je roule avec cette délicieuse inquiétude qui naît de ne pas connaitre les épreuves qui me seront infligées. Depuis plus de vingt ans que j’emprunte le même chemin des liens de confiance se sont forgés. Elle connait bien mes limites. Les visites ne se déroulent jamais de la même manière et je suis, en la quittant, souvent étonné d'avoir été capable de supporter ses cruels amusements. Une sorte de fierté. Cependant avec l'âge il me semble moins bien supporter la douleur et une réelle peur me saisi quelques fois. Immobilisé par un magnifique bondage et laissé seul un long moment j’imagine le pire, un incendie, le malaise de ma maîtresse, mille folies improbables. J’essaye de cacher au mieux ces moments de panique naissante.

Je m’arrête devant le portail et sonne. J’attends patiemment car je sais que derrière le portier on s’amuse à m’observer. Une sorte de rituel. Voila le petit claquement de la gâche électrique.

Je pousse la portail et m’engage dans l’allée qui mène à l’imposante maison carrée, une sorte de mas provençal mais situé en région parisienne. Je monte les quatre marches du perron et sonne à la porte d’entrée. Nouvelle attente. Un déclic. Je pousse la porte qui donne sur une grande entrée assez sombre éclairée uniquement par une lampe posée sur un coffre ancien.

La pièce est lambrissée sur toute sa hauteur ce qui en accentue son coté austère. Un plafond à la française avec un imposant lustre en cristal. Un escalier en chêne occupe le coté gauche. Deux grandes portes fermées se font pendant. Il y a aussi une porte plus petite avec un petit panneau ‘salle d’attente’. Le mari de XXX, décédé il y a une trentaine d’années, était médecin. Je pousse cette porte pour m’introduire dans une petite pièce tapissée d’un papier peint rouge avec des motifs dorés. Deux fauteuils en velours rouge également. Une armoire ancienne. Une table basse avec, bien en évidence, une feuille avec un titre en gros ‘Instructions’.

Les instructions, je les connais par cœur. Je commence donc à me déshabiller. Je quitte chaussures et chaussettes que je place au bas de l’armoire. Le reste des vêtements est placé sur un cintre et rangé dans l’armoire. Je me saist observé et je vérifie que rien ne traîne dans la pièce. Je reste debout immobile et nu, face à l'autre porte. Cinq, dix minutes qui me paraissent interminable avant que la porte s'ouvre.  

Le samedi matin

-Bonjour Alain, pour fêter ta nouvelle vie de retraité, je t’ai préparé une surprise. Elle s'assoit sur le lit sur lequel je serai bientôt, je le sens, à sa merci. Grande, au teint mat et des longs cheveux noirs elle a une allure magnifique. Ces yeux sombres bordés de mascara me scrutent avec amusement. -Tu sais que tu es mon esclave, que tu dois te soumettre à mes volontés, m’obéir aveuglément. Que tu n’existes que par moi et pour moi. Si tu as peur, si tu n’es pas certain de vouloir tout ce que je veux, tu peux encore franchir cette porte et te rhabiller. Elle marque un silence.

  • Alors ?.

  • Oui Maîtresse, je suis à votre disposition et pour votre plaisir.

  • Certain ?.

  • Oui, Maîtresse’.

  • Bon, pour que ta vie de retraité soit réellement une vie nouvelle et riche d'émotions je désire que tu deviennes, à partir d'aujourd'hui, ma soubrette ... Tu seras 'Aline’.

  • Ca n’a pas l’air de te faire plaisir !

  • Si Maîtresse. Je n'aime pas beaucoup ces séances de féminisations mais je me répète que je suis la pour son plaisir et que je pourrai survivre à une journée ou deux dans ce rôle de servante.

  • C’est bien, nous pouvons commencer.

Elle se lève pour s’approcher du panneau où sont disposés ses accessoires. Elle choisit quatre bracelets qu’elle place à mes poignés et à mes chevilles.

  • Etends toi sur le dos, me dit-elle, en me montrant le lit.

Je m'exécute et me retrouve attaché, les bras en croix légèrement au dessus de la tête et les jambes écartées par une barre.

  • Tout ces poils ce n'est vraiment pas beau. Je vais arrangé ça.

Elle se dirige vers la commode qui se trouve au fond de la pièce et sort d'un tiroir une petite tondeuse. Elle commence à raser rapidement la zone du pubis, elle passe ensuite à la poitrine et aux aisselles.

Elle sort de la pièce et revient au bout d'un moment avec une casserole de cire chaude. C'est la première fois que je vais découvrir l'épilation et je suis un peu inquiet . Elle étend la cire en bande sur mes jambes. C'est désagréable mais très supportable. L'enlèvement de la cire refroidie, qu'elle retire doucement et non d'un seul coup rapide est une opération vraiment douloureuse et je dois lutter pour ne pas me plaindre. Elle recommence l'opération bande après bande, sur une jambe, puis sur l'autre et enfin sur les avant-bras qu'elle détache l'un après l'autre. De temps en temps elle s'absente pour réchauffer la cire. Je suis content quand l'opération est terminée. Le passage d'un lait hydratant est même un vrai soulagement.

  • Ce n'est pas parfait mais nous ferons mieux dans l'avenir, me dit-elle.
  • Passons au sexe et à la poitrine.

Elle humidifie la peau et les poils restant avec un linge de toilette, dépose de petits tas de crème à raser qu'elle fait mousser avec un blaireau et commence à me raser avec application. Elle traite ainsi le pubis, les bourses, la verge qui entre temps s'est doucement gonflée.

  • Ca te fait bander ma salope.

L'opération terminée elle passe à la poitrine.

  • A l'avenir, je ne veux plus voir le moindre poil. Compris ?
  • Oui Maîtresse.
  • Ce sera la première tache du matin, le corps et le visage. Maintenant va prendre une douche.
  • Attend, j'ai oublié la raie des fesses. Elle passe la tondeuse et m'applique ensuite une bonne couche de crème dépilatoire. Elle décide également de m'en enduire toutes les parties déjà traitées.
  • Je reviens dans dix minutes.

La crème sur les parties épilées et rasées crée une sensation de brulure inquiétante. Quand elle revient, elle me détache et me dirige vers la douche en me disant de bien me rincer et de me passer du lait hydratant sur tout le corps.

En sortant de la douche et en me regardant dans une grande glace je me trouve pas si mal pour mes cinquante cinq ans. Je suis finalement assez content de mon nouveau corps lisse, doux et débarrassé de toute trace de poils.

Une véritable surprise m’attend. Deux couverts ont été dressés sur une petite table de bridge et ma maîtresse tout sourire m’invite à m’asseoir en face d’elle.

Le repas est simple mais excellent arrosé d’un Crozes-Hermitage qui invite aux confidences. Je lui explique pourquoi, employé par une entreprise étrangère, j’ai eu l’opportunité de prendre une retraite anticipée et qu’en raison d’une double profession, durant une partie de ma carrière, j’ai une retraite sensiblement équivalente à mon salaire d’activité. Je regrette bien entendu avoir sacrifié ma vie de famille éventuelle à mon travail et de me retrouver maintenant bien seul et sans attache.

Elle m’écoute avec attention et me pose des questions sur les placements que je pourrais lui conseiller, sur l’immobilier. Elle s’intéresse à ma maison. Me demande ce que je pense des banques à distance, d’Internet, si je trouve que les cartes bancaires sont bien sécurisées. Elle m’interroge sur mes souhaits pour nos relations futures. Je lui indique que je pense pouvoir progresser dans la soumission bien que certaines pratiques me fassent horreur. Au dessert elle change de sujet.

  • J’ai invité des amis pour demain après midi et je désire que ma petite Aline soit belle pour me faire honneur.
  • Je ferais selon vos souhaits, maîtresse.
  • Alors mettons nous au travail.  
Le samedi après midi.

Je suis de nouveau attaché sur le dos. La barre d’écartement fixée à mes chevilles est accrochée à un palan. Mes jambes font maintenant un angle de quarante cinq degrés avec le corps ce qui dégage bien mon anus et mon sexe.

  • Tu dois bien comprendre qu’il n’est pas possible qu’une soubrette se promène avec un sexe aussi apparent. On va essayer de le camoufler un peu.

Elle approche un petit guéridon sur lequel elle place un flacon de bétadine, des gants en latex et, à ce qu’il me semble, du matériel de suture (porte aiguille, pince, compresse, aiguilles et fil). Je commence à m’inquiéter sérieusement.

  • Prêt pour souffrir un peu, me demande t’elle ?
  • Oui Maîtresse. Je réponds d’une voix mal assurée ce qui la fait rire.

Elle va se laver les mains, enfile les gants sortis de leur emballage. Verse de la bétadine sur une compresse et m’en badigeonne une zone située sous le scrotum mais assez près de l’anus. Elle prend entre ses doigts un bourrelet de chair et le fixe avec la pince chirurgicale. Je ne vois pas ce qu’elle fait avec l’aiguille qui me pique plusieurs fois presque au même endroit.

  • Deux ou trois nœuds, on coupe les fils et la première partie de l’opération est terminée. Ce n’était pas bien grave me dit-elle. Passons à la suite.

Elle prend mon sexe et décalotte le gland. Avec la pince elle serre la peau en dessous du gland pour empêcher la peau de revenir le recouvrir. Nouveau nettoyage avec la solution désinfectante. Elle ouvre un nouveau kit de suture et commence à faire plusieurs points au niveau de la pince. Une fois terminé, il est certain que mon gland aura, à l’avenir, la vocation de demeurer en permanence à l’air libre.

  • Phase deux terminée.

Elle me verse du savon liquide sur le sexe et dans ma main droite qu’elle a détachée.

  • Maintenant branle toi sauvagement. Je veux te voir épuisé.

Je suis étonné par cet ordre mais je commence à m’activer très sérieusement et ne tarde pas à éjaculer.

  • Continue. Je n’arrive pas à redonner vie à mon membre devenu flasque.

  • C’est bon. Nettoyons ça.

Voila le troisième kit de suture qui arrive. L’aiguille passe derrière les fils situés près de l’anus et revient vers ceux situés vers le gland. L’opération est renouvelée trois fois.

  • Maintenant passons aux choses sérieuses.

Elle oblige chacune de mes testicules à remonter dans l’aine, les maintiens en place et rabat fortement mon sexe mou entre les cuisses. Puis elle tire sur les fils jusqu’à ce que le gland se retrouve presque au niveau de l’anus. Elle fait alors plusieurs nœuds.

  • Phase trois terminée dit-elle en riant.

Je commence à ne pas trouver cela drôle du tout. J’esquisse une protestation et reçoit en retour deux claques magistrales sur les fesses. Elle descend le palan et mes jambes reviennent à l’horizontal.

Maintenant elle tire de chaque coté du sexe la peau qui contenait les testicules et la rabat sur le membre. Les deux morceaux de peau jointes sont maintenu par la pince. Elle va chercher une autre pince et la place de la même manière à un centimètre de la première. Puis elle commence son travail de couture au niveau de la première pince, s’assure que les bords sont bien serrés et enlève la première pince pour la placer un peu plus loin.

Une fois terminé la verge a complètement disparue sous la peau des bourses.
  • Magnifique, vraiment magnifique. Elle s’extasie en nettoyant abondamment sa couture avec du désinfectant.

Maintenant elle m’explique les avantages de l’opération :

1/ le gland décalotté pourra être tenu propre, 2/ je pourrai pisser sans problème en position assise comme une véritable femme, 3/ mon ancien sexe dégoûtant est maintenant assez bien caché, 4/ les testicules placées au niveau de l’aine peuvent s’apparenter aux ovaires, 5/ la peau de la bourse ainsi cousue empêche toute descente des testicules.

Elle paraît vraiment très contente de son travail. Moi, je commence vraiment à m’inquiéter sérieusement.

  • Maintenant tu vas pouvoir te reposer. Je vais te laisser car j’ai ma réception de demain à préparer.

Elle va chercher une ceinture qu’elle me boucle autour de la taille. Elle a deux attaches de chaque coté qui se fixent au dessus du coude réduisant ma mobilité aux seuls mouvements des avant-bras. Elle me place ensuite un large collier rigide avec une chaîne d’environ quatre mètres qu’elle fixe à un piton avec un cadenas. Elle enlève la barre d’écartement mais les pieds sont entravés.

  • un repas te sera apporté. Tu as un vase de nuit en cas de besoin. Je viendrais te préparer pour la nuit.

Le repas du soir, amené par un jeune homme sur un plateau qu’il pose par terre n’avait rien à voir avec celui de midi. Un bol de bouillon de poireau, une plâtrée de riz, un bout de fromage pas très net et un morceau de pain sec avec une bouteille d’eau. Manger avec les bras entravés un repas posé au sol s’averra un exercice difficile. Je n’ai pas osé transporté le plateau sur le lit. Ensuite, sans ma montre, l’attente me sembla interminable.  

La nuit

Je suis soulagé de voir le retour de ma Maîtresse, mais pas pour longtemps !

Sans un mot elle me place des boules Quies dans les oreilles et m’enfile une cagoule en cuir dont elle obture l’emplacement des yeux. Puis elle m’emmène en me tirant pas la chaîne fixée au collier. Elle me prend le bras pour me faire descendre un escalier ce qui n’est pas facile avec mes pieds encore entravés. Au bout d’un couloir qui me semble interminable elle me pousse dans un local mal odorant au sol de terre battu. Elle fixe me semble t’il la chaîne à un crochet.

Je reste là, debout, un grand moment sans savoir quoi faire. Persuadé d’être maintenant seul je commence l’exploration de la pièce. D’un coté, un mur, sans doute en béton. Sur la droite, une porte en bois mal jointée mais paraissant solide. En continuant, je heurte au sol une paillasse. En tâtant je trouve une couverture. Je suis fatigué, j’en ai assez. La privation sensorielle me laisse mal à l’aise et démoralisé. Je ne trouve plus le jeu très drôle. Je décide de m’étendre. La paillasse sent l’urine. Mon sexe recourbé me fait mal et les points tirent douloureusement la peau. L’anus irrité par la crème dépilatoire me gratte horriblement et je ne peux pas y accéder avec mes bras entravés. Mes testicules serrés dans leur nouveau logement sont douloureuses.

Je commence à pleurer doucement ce qui ne m’était jamais arrivé, je crois, depuis son plus jeune âge. Je ne comprends vraiment pas. Ma Maîtresse n’avait jamais été aussi dure. J’avais supporté toute la journée ses volontés sans aucune plainte. Pourquoi m’infligeait-elle une aussi dure punition.

Finalement je me suis endormi. Je suis réveillé par une forte envie de me soulager. A genoux j’essaye de continuer l’exploration de la pièce. Je trouve un récipient qui me semble en tôle émaillée et sans couvercle. Je suppose qu’il est destiné à cet usage. Je ne me suis pas assez accroupi et, compte tenu de mon sexe orienté vers l’arrière et de ma position instable, j’arrose copieusement la paillasse. Je tâtonne pour tenter de trouver du papier toilette mais réalise qu’il ne me servirait à rien avec mes bras entravés le long du corps. J’essaye de me recoucher dans l’autre sens mais je m’emmêle dans la chaîne.

Maintenant j’ai froid bien que je transpire sous la cagoule. Me couvrir de la couverture ne s’avère pas si facile. Avec mes bras attachés je n’arrive pas à m’installer sur le coté et je n’ai pas l’habitude de dormir sur le dos ou sur le ventre. Je n’arrive donc pas à me rendormir et je n’ai aucune notion de l’heure. Les scénarios les plus catastrophiques commence à tourner dans ma tête. Dans quel galère je mes suis fourré et que me réserve la journée de demain et ses invités.

  • L’odeur est épouvantable.
  • Le silence est épouvantable.
  • L’obscurité est épouvantable.
  • Heureusement je me rendors.

Je suis tiré d’un demi sommeil par une forte claque sur les fesses et une traction sur la chaîne. La traction est si forte que je pique du nez dans ma paillasse et n’arrive pas à me relever. J’ai une forte envie de pisser mais on ne m’en laisse pas le temps. Je me relève enfin et fait le même chemin que la veille en sens inverse.

On m’enlève enfin la cagoule et je vois devant moi une jeune femme mignonne d’une trentaine d’année. Elle m’enlève également les boules Quies, les attaches des chevilles et des poignets et me pousse vers la douche.

  • lave toi et rase toi soigneusement.  
Dimanche matin.

Quand je reviens mon moral est sensiblement meilleur. Le beau sourire de la jeune fille me rassure également. Elle se présente.

  • Je m’appelle Carole, je suis esthéticienne et chargé par ta Maîtresse de te faire belle. Elle regarde mon bas ventre et la couture et me dit en riant.
  • C’est très réussi.

Elle me présente une chaise et me demande de m’assoir. Je ne m’étais pas encore assis depuis l’intervention d’hier et je comprends alors que le poids du corps repose totalement sur mon sexe et l’écrase. Je rectifie la position et m’assoit sur le bout des fesses.

  • Je suis désolé, ta Maîtresse m’a demandé de t’attacher.

Les attaches aux pieds et aux poignets sont ressorties, l’anneau du collier est fixé au dossier. Elle prend du recul et me regarde. Elle fouille dans un carton et ressort une perruque.

  • Celle-ci t’ira très bien. Elle me montre une perruque longue avec des boucles en cascade et m’en vante les qualités.
  • C’est du synthétique mais plutôt de haut de gamme. Elle a du volume et de la longueur pour un modèle ultra féminin. Elle va mettre en valeur ton attractivité et ta sensibilité.

Je suis effondré.

Elle bascule la chaise en arrière et la cale avec je ne sais quoi à quarante cinq degrés. Elle m’arrose avec un broc et commence à me shampouiner. Je suppose que l’eau doit tomber dans une cuvette. La tête une fois séchée elle redresse la chaise et prend une tondeuse.

  • Non ! Pas ça, vous n’avez pas le droit. Je la fais rire. Elle va chercher sur le mur un bâillon boule et me l’ajuste.
  • Cela t’évitera de dire des bêtises. La perruque tiendra bien mieux sur une tête rasée.

Elle termine son travail avec un rasoir et revient également sur quelques zones de mon visage. Elle met en place la perruque et avec les deux languettes situées de chaque coté à l’intérieur du bonnet ajuste la symétrie.

  • Je crois que ta Maîtresse sera contente, elle te va très bien me dit-elle en s’éloignant de quelques pas.
  • Tes sourcils sont beaucoup trop épais et ne sont pas de la même couleur que tes cheveux.

Elle commence à m’épiler. Je n’ai pas de montre mais je pense que la séance a bien durée une demie heure pendant laquelle j’ai vraiment souffert.

  • Maintenant, quand je te le dirai, tu fermeras les yeux. Je t’apprendrai à placer tes faux cils mais aujourd’hui je n’ai pas le temps. Il reste beaucoup à faire.

Elle passe un produit sur mes cils, je pense que c’est une sorte de colle.

  • Ferme les yeux et ne bouge pas. Elle exerce une pression au centre des cils et sur les cotés Elle recommence l’opération pour l’autre œil.
  • Voila, c’est bien. Cela te fait tout de suite une regard plus profond.

Elle va chercher un pot contenant un produit de maquillage et avec un coton tige et par petite touche elle l’applique sur mon visage, mes paupières, mon cou. Elle l’étend ensuite par des massages légers.

  • Un peu de rouge sur les pommettes et, pour terminer, le rouge à lèvres.

Elle a choisit un rouge brillant qu’elle m’applique avec minutie. Elle se recule, revient et rajoute un peu de rouge sur les pommettes et va chercher une glace. Je n’en reviens pas, est-ce bien moi cette femme outrageusement fardée et vulgaire que j’aperçois. Toute trace de l’homme plutôt virile que j’étais encore hier matin a disparu.

  • Maintenant passons aux mains.

Elle me prend la main droite et commence à limer consciencieusement le dessus des ongles avant de les enduire de colle et d’y appliquer de faux ongles. Elle attaque l’autre main avant de me passer un vernis assorti au rouge à lèvres sur les ongles des pieds. Elle termine avec les ongles des mains.

  • Tu es très jolie me dit-elle en riant. J’ai terminé. C’est au tour du docteur. Ce n’est donc jamais fini ! Que va t’il m’arriver maintenant ?

Je reste seule (Grave, je commence à employer le féminin) toujours attachée sur ma chaise.

Au bout d’un moment un homme entre dans la pièce et en me voyant émet un sifflement admiratif et se met à rire. Il m’est tout de suite fortement antipathique. Il est encore jeune, trente cinq ou quarante ans. Il dégage un sentiment de supériorité et de suffisance fortement désagréable. Il est tout de suite très intéressé par mon sexe escamoté.

  • Je n’avais encore jamais vu ça. Magnifique. Et ça le fait rire.
  • C’est dommage qu’une aussi belle fille ait une poitrine aussi plate. Je peux arrangé ça pour cet après midi mais il faudra envisager un traitement à plus long terme. J’en discuterai avec ta Maîtresse. Mais je ne me suis pas présenté. Je m’appelle Loïc et je suis chirurgien.

Il sort et revient avec un support de sacs de perfusion.

  • Je vais t’injecter ces deux poches de solution isotonique glucosée à 5% injectable de 500 ml.

Ce n’est pas douloureux mais cela va prendre environ trois heures. Tu auras des seins magnifiques pendant une douzaine d’heures. Ils redeviendrons ensuite progressivement comme avant. Je vais surveiller le processus car il est probable que pour une première fois il ne soit pas possible d’injecter la totalité.

Attaché comme je le suis et avec mon bâillon, il m’est difficile de protester. Il se lave soigneusement les mains et sort de leur emballage une paire de gants. Il branche ensuite deux fines aiguilles aux poches. Il purge pour qu’aucune bulle ne reste dans les tubulures. Il désinfecte la zone de piqûre, pince un petit bourrelet de peau et pique l’aiguille dans le sein à environ trois centimètres au dessus du haut du mamelon. Il l’enfonce à mon avis assez profondément. Il immobilise ensuite le microperfuseur avec un sparadrap. Il vérifie le nombre de gouttes par minute et parait satisfait.

  • Avec ce réglage on devrait injecter environ 150 ml par heure. Avec 350 ml tu devrais déjà avoir une très belle poitrine. Je viendrais plusieurs fois pour surveiller et on te fera manger. Il n’est pas question de te détacher tant que l’opération ne sera pas terminée.

Il sort avec un petit sourire satisfait. Il me semble qu’il ne s’est pas écoulé dix minutes et je vois déjà un changement dans le volume de mes seins alors, au bout de trois heures !

Un jeune homme arrive avec un plateau. Il m’enlève mon bâillon et sans aucune parole et sans commentaire il me fait manger à la cuillère une purée et des saucisses coupée en morceau. Ensuite c’est un yaourt. J’essaye de l’interroger mais il ne répond pas. Je lui dis avoir une forte envie de pisser. Il sort toujours muet.

Le dimanche après-midi.

Loîc est venu plusieurs fois. Il semble prendre un malin plaisir à tâter, soupeser, malaxer la poitrine qui continue à gonfler. La peau me tire et me fait mal. Mes seins me paraissent énormes. Je le prie à chaque passage d’arrêter ce supplice. Cette fois il paraît enfin satisfait, il coupe l’alimentation et retire les aiguilles. Il désinfecte et place un petit pansement. Il ne fait aucune réflexion sur l’urine sur le sol. En effet, il m’a été impossible de me contenir.

  • Ta Maîtresse va pouvoir venir te préparer. Il remballe son matériel, me détache et sort sans autre explication.

Je suis nu au milieu de la pièce. Je fais quelques pas pour me dégourdir les jambes et sens mes seins qui pèsent et bougent. La sensation est étrange. La porte s’ouvre et ma Maîtresse entre. Elle voit tout de suite la flaque d’urine.

  • Tu seras punie pour cela ma petite Aline. Elle ne fait pas de commentaire sur mon nouveau look.
  • Tiens, enfile moi ça. Elle me tend un string. Enfilé, il cache les coutures du pubis mais laisse mon gland à l’air libre.
  • Ta silhouette laisse à désirer, ce sera mieux avec ce corset seins nus. Tourne toi.

Elle commence à m’enfiler un corset, en satin noir avec des bandes rouges, maintenu par une bride passant derrière le cou et dont le décolleté passe sous les seins. Elle commence le laçage en tirant comme une malade.

  • Assis toi maintenant.

Elle sourit en me voyant faire la grimace.

  • Ton gland s’y habituera.

Elle sort d’un sac une paire de chaussure à talon haut.

  • j’ai vérifié la pointure avec tes chaussures. Elles devraient t’aller. Pour un début je n’ais pas choisi des talons trop haut.

Elle me remet un bâillon.

  • Viens, maintenant je vais te présenter à mes amis.

Elle m’entraîne à travers un couloir et nous entrons dans un grand salon que je ne connais pas. Sur un des murs, une grande cheminée est allumée, ce qui m’étonne car la température est plutôt clémente. Il y a là trois femmes et trois hommes qui me regardent avec curiosité et amusement.

  • Je vous présente Aline, ma nouvelle domestique. J’ai eu pitié d’elle. Elle n’a pas d’occupations ni de famille et s’est plaint de la solitude. Elle aime souffrir et a acceptée avec plaisir que je m’occupe d’elle. Elle a beaucoup changé en moins de deux jours mais il reste beaucoup à faire. Je compte sur votre aide pour m’aider à la faire évoluer dans sa condition de femme et dans la soumission. Elle se tourne vers moi.

  • Tu connais déjà Carole et Loïc. Je te présente Suzanne et Thérèse qui sont deux bonnes amies dominatrices, elles vont me seconder. Voici Robert qui dirige une concession automobile et Michel qui est notaire. Mes amis, pour fêter la nouvelle vie d’Aline, je vous propose de boire une coupe de champagne en son honneur.

  • Peut-être préférerait-elle mon champagne, dit Thérèse en riant.

  • C’est une très bonne idée répond ma Maîtresse.

Et tandis que Michel sert le Champagne, Thérèse revient avec une coupe pleine de son urine. Robert s’approche de moi pour m’ôter le bâillon. Il en profite pour me tripoter les seins.

  • Comment avez-vous fait ça, demande t’il admiratif.

Loïc lui explique le principe de l’injection et lui précise, que malheureusement, le liquide va progressivement se résorber. Il faudra employer d’autres solutions pour un résultat durable.

  • Trinquons en l’honneur de notre belle Aline propose ma Maîtresse. Ils lèvent leur verre et commence à boire en me regardant vider doucement ma coupe. Je sais en effet qu’il est inutile d’essayer de me rebeller.
  • Elle aime ça, dit Loïc en riant.

Ils se mettent tous à rire.  

L’inventaire.

Ils se sont mis à discuter entre eux en m’ignorant. Je reste là plantée à les écouter. Au bout d’un moment ma Maîtresse demande le silence. Elle montre une petite table basse dans le coin de la pièce.

  • Nous avons ici les restes de l’ancienne vie d’Aline. Nous allons voir ce que nous pouvons en faire. Elle sort de ma veste mon portefeuille et l’ouvre. Elle en vide le contenu.
  • Voilà les mille euros prévus pour la pension et les soins de ce week-end. Elle continue l’inventaire à haute voix.
  • Une carte bleue dont bien entendu Aline aura la bonté de nous donner le code. Une carte d’identité. Le groupe  s a n g u i n. Une carte de fidélité d’un sex-shop, une autre d’une enseigne de bricolage. Il semble que ma petite salope aimait s’amuser toute seule. Rien d’autre d’intéressant. Elle tend la carte d’identité à Michel.
  • Je te charge de faire des photocopies et de commencer les démarches pour un changement de sexe pour l’état civil. J’hallucine. Elle reprend ma veste et sort mon permis de conduire, ma carte grise et mon attestation d’assurance.
  • Robert, tu te chargeras de la vente de sa Mercedes. Cela couvrira une partie de nos premiers frais. Voici les clefs et les papiers du véhicule.

Je suis trop abattu pour pouvoir réagir devant le piège qui se referme doucement. Elle exhibe mon téléphone portable.

  • Nous allons demander à Aline d’enregistrer sur son répondeur le message suivant.

Elle me tends un papier sur lequel je lis : « Je suis actuellement en voyage à l’étranger pour une longue période et impossible à joindre. En cas d’urgence contacter Maître Michel XXX au numéro suivant… ». Comme je reste muette, elle s’adresse à Suzanne.

  • Tu trouveras de quoi l’attacher dans ce coffre. Pendant ce temps je vais chercher un fouet.

Suzanne sort du coffre une corde et cherche dans la pièce un point d’ancrage. Elle se décide et me place à un mètre d’une longue table de campagne. Elle m’attache un poignet. Passe la corde autour du pied sans tirer et fait deux tours. Elle m’attache l’autre poigné. Elle retourne au coffre et prend une autre corde. Elle m’attache assez fermement les deux pieds ensembles et demande à Robert qui est costaud de me reculer. Je me trouve dans une position assez inconfortable, en équilibre, plié en deux sans pouvoir m’appuyer à la table. J’offre ainsi au choix, mon dos, mes fesses ou mes cuisses à la morsure du fouet. C’est avec une cravache que la Maîtresse revient. Elle félicite Suzanne pour son initiative.

  • Voila les règles du jeu à l’avenir. Je commence par cinq coups, c’est la punition minimum. Tu coopères, on arrête. Sinon je passe la main et on rajoute cinq coups, ce qui fera dix pour le deuxième tour, quinze pour le troisième, soit au total trente coups. Et ainsi de suite. C’est toi qui décides. Compris ?
  • Oui Maîtresse.

Ma Maîtresse a choisi les cuisses. Elle frappe vraiment fort et la douleur est intense. Je décide de ne pas tenter d’aller plus loin et enregistre mon message.

  • C’est bien, tu es raisonnable.

Je sens que l’assistance est assez déçue.

  • On va te laisser te reposer un moment et on passera au numéro de carte bleue. Remettez lui son baillon.

Et le petit groupe va discuter plus loin me laissant dans ma position inconfortable. J’arrive tout de même à m’accroupir ce qui est moins éprouvant. J’entends qu’ils parlent de moi et discutent de la façon d’opérer pour résoudre des tas de problèmes. Il faudra dans un premier temps faire une changement d’adresse pour faire suivre le courrier.

Michel indique qu’il n’y aura pas de problème pour ouvrir un nouveau compte dans une banque en ligne avec une procuration à son nom. Que mes retraites seront progressivement transférées sur cette banque et qu’il sera alors très facile d’alimenter par virement tout autre compte. Loïc parle d’un traitement hormonal pour développer mes seins mais aussi des méthodes chirurgicales et en particulier de la pose d’implants devenus de plus en plus performants.

Il parle également des différentes méthodes de castration et de leurs conséquences. Ma Maîtresse demande à Robert s’il peut aller faire l’inventaire de ma maison et contacter un agent immobilier pour une estimation. Carole parle de l’épilation électrique et laser. Thérèse et Suzanne donnent leurs idées de punitions pour que je devienne vraiment docile, une bonne suceuse et avaleuse de foutre.

Ils parlent ainsi sans que le fait que je puisse les entendre les gêne le moins du monde. Accroupi dans mon coin je dois supporter tout cela. Je me révolte. Je décide qu’il faudra qu’ils me tuent pour avoir mon numéro de carte bancaire.

  • Lève toi, m’ordonne ma Maîtresse. Tu n’as pas honte de te vautrer ainsi. Tu as pris ta décision pour le numéro de carte ? Je fais non de la tête.
  • Comme tu veux. Qui commence, Carole ?
  • Ok, mais je préfère le fouet.
  • Suzanne peux-tu aller chercher un fouet. J’ai ainsi deux minutes de répit. Carole s’applique pour les cinq coups auxquels elle à droit. Ils arrivent tous dans la même zone au bas des fesses. Ca fait un mal de chien.
  • Alors me demande ma Maîtresse ? Silence. On continue. Robert ?

Robert est fort, il me fait peur. Il saisi le fouet des mains de Carole et il se met à me fouetter sur le dos à toute allure si bien que je pense qu’il a dépassé son quota. Certains coups se sont enroulés autour du corps et ont atteint mes seins particulièrement sensibles. J’ai hurlé en admettant que l’on puisse hurler avec un bâillon.

Suzanne a été chercher une canne et frappe alternativement sur chaque fesse. Quinze coups. Pour la symétrie elle me donne un coup de plus.

C’est au tour de Michel de me frapper avec le fouet. Je me mets tout à coup à transpirer abondamment. J’ai l’impression que le   s a n g  se retire de mes membres. J’ai la nausée. Je vacille et m’écroule. Loïc a été cherché sa trousse et me fait respirer une fiole. On m’aide à me redresser. J’entends ma Maîtresse qui dit à Michel :

  • Tu recommences du début. Vingt coups. Alors je craque et fait des hochements de tête désespérés pour signifier mon assentiment. Le bâillon enlevé je donne mon code.
  • Robert prend ta voiture et va au village vérifier si le numéro est le bon. Voici la carte. Et se tournant vers moi.
  • Détachez la. Je vais raccompagner cette demoiselle dans ses appartements pour qu’elle se repose un peu. Elle se ravise.
  • Attendez une seconde. J’oublie le principal.

Elle se dirige vers la table basse pour y prendre mes vêtements. Elle retourne les poches pour vérifier qu’il n’y reste rien d’intéressant. Elle fait une boule de la veste, du pantalon, de la chemise et du slip. Elle me prend par le bras et fait signe à ses amis de la suivre. Elle se dirige vers la cheminé et y jette mes vêtements.

  • Ce geste symbolique, dit-elle, marque la disparition d’un homme qui se faisait appeler Alain.

Ces crétins applaudissent. Je suis épuisé, je ne réagis plus. Ma Maîtresse me pousse vers le couloir.  

Epilogue.

Il m'est difficile de dire combien de temps je suis resté seul, recroquevillé dans un coin de ma cellule, à ressasser mon infortune. A imaginer mon avenir de bonne à tout faire et à tout subir. Je ne voyais vraiment aucune solution pour me tirer de cet horrible piège. Je n'entendais aucun bruit et voyait par la vague lueur du soupirail que le jour baissait.

La porte s'ouvre et ma Maîtresse entre avec un grand sourire.

  • Je suis très contente de ma petite Aline et pour la récompenser nous t'avons préparé une surprise. Tu vas être contente. Je t'emmène dans la salle d'opération.

Les dernières paroles sont loin de me rassurer et je me demande ce que ces tarés ont encore imaginé. Tous les invités sont réunis et m'accueillent hilares avec des applaudissements.

  • A toi de jouer Michel.

Michel a l'air de connaître son rôle. Il me fait coucher de dos sur la table, me fixe la barre d'écartement aux chevilles, fixe la barre au palan. Et me voila les jambes en l'air. Mon bâillon m'empêche de rouspéter et mes grognements déclenchent des rires redoublés.

Je vois Michel prendre une paire de ciseaux. Ces malades vont me châtrer ! Michel se penche sur moi et ce met à travailler avec application et petit à petit je sens la pression sur mon sexe se relâcher. Un dernier coup de ciseau et je vois mon sexe libéré se raffermir et même bander légèrement. Cela fait du bien mais ne me soulage pas de mes craintes.

Quelle sera la suite ?

Je ne suis pas au bout de mes surprises. Le palan est rabaissé, mes chevilles sont libérées de la barre d'écartement et je me retrouve debout sans aucune entrave. Carole m'apporte mes vêtements que je croyais brulés. Robert me rend ma carte bleue en me conseillant de la changer ou de faire modifier le code. Ma Maîtresse s'avance et prend la parole.

  • Je pense, Alain, que tu as passé un dur week-end mais j'espère que tu ne resteras pas trop traumatisé par cette expérience que je reconnais psychologiquement très dure. Mais, souviens toi, tu avais accepté au départ mes conditions. Tu ne garderas pour seule marque qu'un crane un peu plus dégarni. Mais la boule à zéro te va bien. Tes seins reprendront très rapidement une dimension normale et dans quelques jours tu pourras t'assoir à nouveau sans penser à nous. Quant aux cils et aux ongles je te laisse le soin de t'en débarrasser. Tu es libre.

  • Vous êtes tous des salauds !

Cela les fait rire.

C'est une belle soirée du mois de juillet et je conduis lentement pour profiter de l'air frais, du clair de lune, de ma liberté retrouvée et ... de la fin de ma carrière de soumis. Mais ça, c'est moins évident.

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